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Projet de reboisement Mangrove – Sénégal

La zone d’intervention du projet « de restauration de la mangrove » est dans le département de Oussouye, plus précisément dans les villages de Senghaléne, Mlomp, Carounate. Il est prévu dans ces villages de restaurer (50) hectares.

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CONTEXTE 

Dans le département de Oussouye, le déficit pluviométrique de ces dernières décennies et la forte pression anthropique sur les écosystèmes, notamment celui de la mangrove, ont eu des conséquences néfastes sur les ressources naturelles
Même si on ne connaît pas de façon exacte la superficie de la mangrove de ce village, on constate une régression considérable et accélérée de celles-ci d’année en année. A première vue les raisons de cette perte sont écologiques et anthropiques :
Écologiques : baisse générale de la pluviosité et la remontée de la langue salée ;
Anthropiques : prélèvements de bois de toutes sortes et exploitation des huîtres avec des techniques inadaptées et néfastes pour les palétuviers
La fragilité de cet écosystème justifie aujourd’hui les craintes par rapport à la durabilité de ses fonctions environnementales, sociales, économiques et culturelles.
L’importance de ces fonctions dans la vie des communautés laisse apparaître l’écosystème mangrovien comme étant une base existentielle des populations.
fonction sociale : les activités culturelles (bois sacré et rites), l’esthétique et l’artistique
fonction économique : production ligneuse, salicole, pharmacopée,
fonction environnementale : régulation agro écologique, réservoir de biodiversité

Aujourd’hui, elle ne peut plus jouer valablement sont rôle économique et sociale ce qui justifie la recherche d’initiatives et d’alternatives pour la revitalisation de cet écosystème naturel.
Cette revitalisation devrait répondre au souci de préservation et d’équilibre écologique de ce milieu si vital pour les populations locales.

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reboisement de la ville de Oussouye, Casamance, Sénégal. 

Conscient de la régression alarmante de la mangrove et en vue d’inverser la tendance, l’organisation ER.F.D.L s’engage à s’investir dans une campagne de reboisement de cette mangrove et de soutenir les populations de cette périphérie pour la réalisation d’actions communautaires durant la campagne 2013.

OBJECTIF GLOBAL
L’objectif global du projet est de restaurer les zones dégradées et de promouvoir une meilleure gestion de l’écosystème de la mangrove.

OBJECTIFS SPECIFIQUES

Pour cela un certain nombre d’objectifs spécifiques sont visés:
Organiser des campagnes d’information et de sensibilisation des populations ;
Formation des bénéficiaires sur les techniques de reboisement de la mangrove ;
Impliquer les populations locales, les élus locaux ainsi que les services techniques compétents dans la mise en œuvre du projet ;
Reconstituer les peuplements de palétuviers dans les zones d’intervention du projet ;
Mettre en place un cadre de concertation des différents acteurs locaux.

RESULTATS ATTENDUS

  • 250 000 propagules sont plantées pour une superficie de 50 ha à l’écartement 1m entre propagule et 2 m entre les lignes ;
  • Les zones dégradées sont identifiées et reboisées ;
  • Les 50 acteurs et partenaires sont formés aux techniques de reboisement et de gestion de la mangrove ;
  • 02 séances de sensibilisation et d’éducation environnementale sont menées au niveau des villages ciblés ;
  • Les populations locales sont sensibilisées sur l’impérieuse nécessité de régénérer et de conserver durablement la mangrove.

Activités

Ces résultats seront atteints par la réalisation des activités suivantes :
– Identifier les zones dégradées de manière participative ;
– Organiser des rencontres au niveau des localités concernées par le projet en vue de Sensibiliser les populations sur les modalités d’intervention du dit projet ;
– Mettre en place des comités de surveillance et de gestion dotés des techniques et de moyens logistiques adéquats ;
– Organiser des séances de reboisement collectif au niveau des villages ciblés ;
Faire une autoévaluation du projet à mi-parcours et à la fin.

Partenariats 

Les partenaires du projet sont :
Service des Parcs : le projet sollicitera l’appui technique des agents du Parc National de la Basse Casamance pour la mise en œuvre des activités ;

Service des Eaux et Forêts : le projet sollicitera l’appui technique des agents des Eaux et Forêts pour la mise en œuvre des activités ;

Service de l’A.N.C.A.R : Le projet sollicitera l’appui technique de L’Agence Nationale de Conseil Agricole et Rural pour la mise en œuvre des activités ;

Conseils ruraux : Les Conseils Ruraux seront des partenaires incontournables pour accompagner moralement les activités ;

Sous – Préfecture de Loudia-Ouolof : La Sous préfecture apportera son soutien moral pour la réussite des activités du projet.

Le réseau RICAPEC

 

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Notre association RICAPEC  s’inscrit dans ces  mobilisations qui ont changé les représentations et qui œuvrent  pour une éthique de la gouvernance environnementale et la paix dans le monde.

Pour ce faire,nous organisons des programmes de sensibilisations et d’actions pour donner la parole aux acteurs qui sont sur le terrain, comme les députés Environnementalistes, les chefs d’entreprises, les journalistes, acteurs de la société civile, ONG, afin qu’il puissent dégager des plans d’actions communes pour le bien être de l’homme et son environnement. Bref de favoriser le dialogue entre les décideurs du Nord et du sud,enfin de trouver de voies et moyens pour sauver notre planète.

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Vu le continent Africain subit de pleins fouet les effets néfastes du réchauffement climatique:

On se demande comment déboucher sur une éthique ?

C’est-à-dire sur des règles d’usage du monde auxquelles chacun pourrait souscrire sans faire violence aux valeurs dans lesquelles il a été élevé?

Comment sensibiliser l’opinion sur le danger du Réchauffement Climatique?

A cet effet, nous avons beaucoup de décideurs à Paris , composé de cadres,d’association œuvrant dans l’environnement, des journalistes, chefs d’entreprises, et acteurs de la société civile à sciences Po Paris et au bureau du Parlement Européen de Paris.

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Pour revenir aussi sur la même présentation.

Sachez que R.I.C.A.P.E.C est une ONG créée en 2008,sous forme d’association de la loi 1901 spécialisée dans les projets de développement durable citoyenne,la protection  des écosystème,la gestion climatique et de l’énergie auprès des collectivités territoriales, États et entreprises. À ce titre, nous accompagnons depuis quelques années  les décideurs,organisation de la société civile Africaines dans les grandes rencontres tels que water word week à Stockholm ou le sommet de Copenhague.
Parallèlement RICAPEC se positionne comme un acteur majeur du « Green Business » et se veut  comme le fer de lance de tout défi technologique ayant une valeur ajoutée environnementale et qui s’inscrit dans un contexte d’innovation industrielle créant richesses et emplois.

RICAPEC est un cabinet qui sensibilise les entreprises aux causes sociales et environnementales.

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RICAPEC rassemble aujourd’hui plus de 2000 personnes intéressées par l’environnement,  pour partie venant des entreprises et des décideurs, car nous avons compris très vite, la décision d’ouvrir les problématiques de l’environnement au delà de sa seule population d’origine.

Notre mission

– Enjeu écologique : lutter contre le changement climatique, assurer la pérennité des ressources en énergies et eau, prévenir de la perte de la biodiversité, réduire les risques et les pollutions.
– Enjeu social : responsabiliser tous les acteurs, développer  la solidarité.
Enjeu économique : réduire les consommations (énergies, eau…), soutenir la recherche dans les nouvelles technologies pour trouver des solutions économiquement viables.

Notre proposition sur le Plan d’industriel

Nous appuyons les techniques et services industriels « Smart Services ».

* Permettre aux acteurs impliqués l’amélioration importante de l’efficacité et de la productivité dans l’utilisation des ressources naturelles, de l’énergie, de l’eau et des matières premières.

    * Contribuer à la réduction des déchets.
    * Assurer la performance par rapport aux technologies traditionnelles et amélioration du profit pour les utilisateurs.

Nous vous informons que RICAPEC propose : un développement de solutions green business dans l’habitat?

Nous proposons des partenariats avec les entreprises qui veulent se développer en Afrique dans les domaines suivants:

– Énergie solaire
– Énergie éolienne
– Énergie électrique
– Traitement des eaux
– Gestion des déchets
– Assainissement et depollution

L’intervention d’Amadou Ba, réalisée aujourd’hui à Evian par NEOPLANETE est en ligne.

Vous pourrez la retrouver sur : http://www.neo-planete.com/2010/11/18/ricapec-long-qui-milite-pour-lautonomie-des-pays-africains/
Vous pourrez trouver toutes les contributions sur ces liens :  (http://www.enviroviedomaine.com/ ),

(http://www.gredaal.com/actualites/news-flash/117-colloque-international-de-ricapec-pour-un-developpement-africain-durable)

L’intervention d’Amadou Ba, réalisée à Evian par NEOPLANETE est en ligne.

Vous pourrez la retrouver sur : http://www.neo-planete.com/2010/11/18/ricapec-long-qui-milite-pour-lautonomie-des-pays-africains/

Les Actions

Programme Developpement RURAL DE RICAPEC

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Selon la FAO, les forêts de la zone sahélienne disparaissent au rythme inquiétant d’environ 2 millions d’hectares par an. Et le réchauffement de la planète ne fera qu’accentuer le phénomène, entraînant d’importantes migrations de populations dans des pays déjà pauvres et instables.

 

 

Campagne de Reboisement  «Fleurir le Sahel et Sahara»

Démarrage du Programme le 28 Aout 2012 à Kebemer, localité situé dans la région de Louga,non loin du mali et la frontière de la Mauritanie et du Sénégal.
Ce projet sera réalisé avec l’alliance des Parlementaires et des élus locaux pour la protection de l’environnement des pays du littoral Ouest Africains(APPEL), et du Réseau des Parlementaires en environnement du Sénégal,les Associations locales de Jeunesse, et des groupements féminins . On ne saurait omettre la collaboration effective de toutes ses coordinations qui se trouvent dans la sous-région, les populations locales. Le programme doit couvrir tous les pays du Sahara menacé par l’avancé du désert.

PROGRAMME DE PLANTATION DE MILLIONS D’ARBRES POUR BLOQUER L’AVANCÉE DU DÉSERT

PAYS concernés:  la Mauritanie, le Mali,le Sénégal, Togo, Benin, Burkina fasso ,le Niger, le Nigeria, le Tchad,le Soudan, la Guinée ,l’ Ethiopie ,l’ Erythrée, Djibouti
Sous la haute supervision de RICAPEC Mauritanie, RICAPEC Mali, RICAPEC TCHAD, RICAPEC GUINEE, RICAPEC SENEGAL, RICAPEC BENIN, RICAPEC Burnkina Fasso, RICAPEC COTE D’IVOIRE

L’état très dégradé des écosystèmes et des ressources naturelles dans la bande sahélienne fait de cette partie de l’Afrique une cible prioritaire dans la mise en oeuvre du projet « Fleurir le sahara et le sahel ». Ce projet va contribuer à lutter contre l’avancée de la désertification et à la mise en valeur intégrée des zones dégradées du sahel en vue d’une gestion durable des ressources naturelles. «Cette ligne de défense, de verdure (située) à l’interface entre le Sahara et le Sahel, fera l’espoir de l’Afrique. Résultat: «Le projet va d’une part, participer à la réduction des migrations écologiques et économiques avec la régénération des sols, et permettra, d’autre part, des recherches transdisciplinaires à vocation régionale, favorisant une grande mobilité des scientifiques africains». Le Projet FSS (Fleurir le sahara et le sahel ) s’inscrit dans les préoccupations internationales de mécanisme de développement propre, c’est-à-dire, la réduction des gaz à effet de serre et des migrations écologiques et économiques. Avec une volonté politique de s’attaquer aux changements climatiques et aux effets récurrents de la désertification. Nous avons des intérêts stratégiques à lutter ensemble contre la désertification et les changements climatiques. Ce projet doit être un poumon vert permettant la réduction des gaz à effets de serre».

Le Mot d’ordre de Ricapec sur le projet « FSS »: « Plantation de 100.000 arbres par an ‘’. Avec cet ambitieux programme, « l’Afrique prend ses responsabilités avec des réponses efficaces » face au réchauffement climatique. « C’est un rêve qui deviendra une réalité », pour nous Cadres Africains, de voir une jeune pousse d’acacia, tout juste haute d’une vingtaine de centimètres.

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L’intérêt de ces plantations envers les populations rurales

« Nous plantons des espèces locales, comme des acacias, qui s’adaptent bien et produisent de la gomme arabique qui procurent des ressources aux villageois », « Mais le défi majeur est de protéger les plantations contre le bétail, il faut donc faire des clôtures mais aussi des pare-feux contre les feux de brousse »,
La Prochaine Campagne sera démarré l’année suivante à partir du Tchad, dont les effets du changement climatique
ont conduit à l’assèchement de son fleuve qui s’étendait de 25 000km2 vers les années 80 et il ne reste que 5000 km2 en 2013.
Barrière de végétation et soucis de financement.

Le financement d’un tel programme constitue un obstacle de taille. « Nous comptons sur des partenariats concréts et pérennes. L’Afrique reste vulnérable au réchauffement climatique mondial. L’idée de cette barrière de végétation accompagnée de bassins de rétention permettra de recueillir l’eau de pluie, et l’installation des systèmes de Goutte à goutte pour irriguer les terres.

cimg3732-2Les fermes Agricoles

 L’agriculture ‘industrielle est l’une des plus grande source de pollution ,liée à ses modes modernes de productions, les pesticides, engrais ,OGM, les méthodes de travail du sol sont en grande partie responsable de l’érosion des terres arables, la déforestation pour l’agrandissement des propriétés et également responsable du recule des forets primaires indispensables pour notre planète , elle est également responsable de l’instinction de nombreuses espèces victimes de nos modes de culture des terres, elle pollue l’eau et la gaspille par la culture d’espèce végétale non indigène et gourmande en eau. Ceci est malheureusement valable pour l’ensemble de l’agriculture moderne trop industrialisé, trop polluante, les pays occidentaux commencent à faire un retour en arrière car les consommateurs ne veulent plus manger de viande industrielle élevé aux hormones et aux antibiotiques, de plus l’on peut voire les dégâts de ces modes de culture et leur limites catastrophiques aux états unis, baisse des productions ,appauvrissements des terres et des espèces, diminution de la fécondité des espèces animale et végétale , disparition dramatique de nombreux pollinisateurs, obligent les agriculteurs américains à polliniser leurs champs avec des avions. Destructions et transformation radicale de terres autrefois fertile….., il faut savoir que les Amiches qui cultivent également du mais produisent plus à l’hectare que les producteurs qui travaillent avec des OGM sensés être plus productif et malgré toutes leurs machines modernes et leur produits chimiques.

 Conséquences sur les populations RURALES:

De par cet exemple frappant de l’impacte du monde agricole sur l’environnement que l’on peut s’inquiéter de la mise en place de systèmes agricoles destructifs d’un environnement déjà extrêmement fragile, et qui basculer dans une catastrophe environnementale à l’échelle mondiale, (voir effet papillon), en effet les dégâts pourraient entrainer une migration majeur des populations , qui seraient de fait des réfugiés environnementaux (l’exode rurale). Par contre une agriculture raisonnée et raisonnable permettrai en éduquant les populations et en mettant en place des plans de développement durable comme le votre,qui pourrait réduire l’impacte de l’homme sur le climat et ses influences néfaste pour l’environnement, elle pourrai même inverser cette tendance en reboisant (notre programme sahel vert) en améliorant l’utilisation de l’eau et des
cultures en recyclant les déchets pour faire Dakar 028.jpgdu bio gaz et en protégeant la faune et la flore locale .Ainsi certaines catastrophes pourraient éviter et d’autres réparées . Une agriculture plus raisonnable et mieux gérée aura également un impacte important sur la qualité de vie des populations et améliorera de fait les conditions souvent déplorables des femmes et des enfants dans nos pays en Afrique. Voilà pourquoi, nous proposons des fermes Agricoles dans les villages que nous présentons dans notre plan de développement Afrique.

« Une opération de 10 000 PUITS VERTS «  dans tous les pays ou nous avons des représentants, du Sénégal au Mali, du Niger, tchad, Guinée ,cote d’ivoire etc . Tous ces pays ont un dénominateur commun,c’est le manque de l’eau dans les villages. Afin de régler le problème de l’eau,et qu’elle arrive jusqu’a irriguer les terres pour une agriculture suffisante. Ces « PUITS VERTS » écologiques (c’est dire qui respectent les normes de l’environnement) sont plus simples et plus adaptés aux villages Africains
L’installation d’une Radio Communautaire
La mise en place d’une radio communautaire dans une zone focus traitant des aspects écologiques et environnementaux.
Afin de communiquer, sensibiliser, d’éduquer les communautés

L’introduction de l’environnement dans les manuels scolaires :

Un grand effort de sensibilisation devrait être fourni auprès des autorités africaines afin de les convaincre à introduire dans leurs systèmes éducatifs respectifs l’enseignement de l’environnement au niveau primaire. En effet, l’efficacité de l’éducation à l’environnement repose sur trois composantes : i) l’éducation dans l’environnement : utiliser l’environnement comme une ressource pour l’apprentissage ; ii) l’éducation sur l’environnement : donner les connaissances et les compétences et ; iii) l’éducation en faveur de l’environnement : inculquer des valeurs et développer des comportements.
Un changement de mentalités qui leur demandera dés leur plus bas âge d’agir tout de suite dans la prise de décision en famille sur :
· le recyclage des objets et la gestion des déchets ;
· l’économie d’énergie (fermer les robinets d’eau et éteindre les appareils électriques après usage) ;
· l’achat de produits moins nocifs ;
· la consommation d’aliments issus d’espèces non protégées (uniquement en période d’ouverture de chasse) ;
· le choix des loisirs et des voyages qui ne nuisent pas à l’environnement.
Il n’y a plus un doute, aujourd’hui, que l’éducation à l’environnement est devenue le pilier principal de la protection de l’environnement à travers le monde.
Sensibilisation des partis politiques africains, des médias, du secteur privé et de la société civile sur les grandes thématiques :

La faible mobilisation de l’opinion publique Ouest africaine par rapport aux grandes thématiques environnementales nécessite une forte communication à l’endroit des partis politiques, des médias, du secteur privé et de la société civile de la sous région.

A travers un exercice de capitalisation d’expériences et par la vulgarisation des résultats scientifiques reconnus et obtenus par des organismes œuvrant dans le domaine de l’environnement, il est fort possible de convaincre ces acteurs du grand intérêt à s’impliquer davantage dans l’effort universel de sauvegarde et de protection de l’environnement et, ce faisant, à saisir les opportunités variées qui s’offrent à eux.
En effet, renforcer les efforts de plaidoyer en faveur de l’environnement,  passe inévitablement par y impliquer tous les acteurs de la scène politique, sociale et économique. Et le plaidoyer passe par la compréhension des thématiques essentielles telles que les changements climatiques, la gestion des ressources naturelles ou encore la responsabilité sociale environnementale.

Dans chacune de ces catégories, des sous rubriques seront développées selon l’intérêt suscité (exemple : dans la thématique  » changement climatique « , la promotion des énergies renouvelables comme stratégie d’atténuation des changements climatiques, la réduction des émissions provenant de la déforestation et de la dégradation des forêts  dans les pays en développement pourraient être des sous thèmes à creuser).

Plaidoyer en faveur de la publication des « Rapports sur l’état de l’environnement »

RICAPEC se propose de vulgariser ce genre de techniques en Afrique de l’Ouest afin de rendre régulière la publication annuelle par chacun des États d’un Rapport sur l’état de l’environnement.

Cet exercice pourrait être fait en collaboration avec le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE) qui en fait son cheval de bataille depuis quelques années. Ce rapport permet de fournir une analyse intégrée de l’environnement. En effet, il établit une évaluation détaillée de l’état actuel de l’environnement dans un pays donné, en mettant en relief les pressions qui s’exercent sur les différentes composantes de l’environnement, l’impact que ces pressions peuvent avoir sur l’environnement et l’être humain, et fournit des recommandations pour des actions politiques concrètes et durables. Un tableau de bord pour tous les acteurs concernés.
Ainsi, il convient de sensibiliser les structures nationales de gestion de l’environnement et les experts nationaux sur l’utilité d’un tel rapport et la nécessité de son apparition régulière. Il conviendrait aussi d’aider certains pays afin d’obtenir les financements nécessaires à son élaboration et les ressources humaines compétentes utiles à son établissement.

 

Charte éthique

Introduction : 

Afin de renforcer ses liens avec ses partenaires ( personnes morales – entreprises mécènes – et/ou physiques- ès qualités ou intuitu personae – ) et tous ceux qui sont impliqués dans la mise en œuvre des projets qu’il soutient, le Réseau International des Cadres Africains pour l ‘Eau, l’ Environnement et le Climat, dans un texte concret précis, définit les principes professionnels, les valeurs et l’ éthique qui l’engagent et fondent son action.

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Cette charte est une référence commune qui doit être partagée par tous, lors de l’exécution et le contrôle des projets soutenus par l’ONG  R.I.C.A.P.E.C.

MISSION

L’ONG s’est engagée à contribuer à la lutte contre le réchauffement climatique, la défense de l’environnement, la protection de la faune et de la foret, l’accès à l’eau potable, la lutte contre la pauvreté par la promotion d’une agriculture durable et sans OGM, l’amélioration des conditions de vie des populations défavorisées d’Afrique ,de l’Amérique du Sud, Latine, de l’Asie, de l’Europe ,du Canada, du Moyen-Orient, avec une sécurité alimentaire, dans un environnement sain.
Dans le cadre de cette mission, notre ONG apporte son soutien aux projets mis en œuvre par les populations ou associations, de façon ponctuelle ou en liaison avec d’autres
projets, dans ses quatre domaines d’intervention :

–  l’éducation,

–  la santé,

–  le développement communautaire

–  l’environnement.

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VALEURS ET DÉONTOLOGIE

Afin de pérenniser les résultats de son action, R.I.C.A.P.E.C souhaite partager les valeurs essentielles de :
• soutien aux plus démunis ;
• respect de la dignité humaine ;
• respect de l’environnement et de la nature ;
• collaboration avec les décideurs du Nord et Sud qui soutiennent activement les causes ; énumérées qui incarnent l’image de notre ONG
• conduite responsable à l’égard de tous ceux qui sont impliqués dans les projets soutenus ;
• transparence , dialogue et partage avec ses partenaires.

 

PRINCIPES FONDAMENTAUX

Dans son activité, R.I.C.A.P.E.C est guidée par les principes professionnels suivants :
Indépendance :

les activités de R.I.C.A.P.E.C se concentrent sur l’exécution de sa mission et ne sont pas alignées sur des intérêts
professionnels ou personnels des personnes qui le composent ou sur ceux de ses donateurs et/ou mécènes, marraine ou parrain.

Seuls le Bureau exécutif et le Président sont habilités à prendre des décisions portant sur les engagements de l’ONG
et les subventions qu’elle octroie.
Action apolitique et laïque :

l’action de R.I.C.A.P.E.C est indépendante, apolitique et laïque.

Il soutient des projets qui ne font état d’aucun prosélytisme

. À travers ses projets, il encourage la tolérance et la diversité culturelle.

Il soutient des projets qui sont mis en œuvre conformément aux législations locales et internationales en vigueur.

Santé, sécurité et protection de l’environnement :

R.I.C.A.P.E.C ne soutient que les projets qui sont conformes aux normes et réglementations nationales et internationales en vigueur, en matière de santé, de sécurité et d’environnement.

Tous les partenaires doivent prouver qu’ils ont intégré ces principes dans leurs pratiques.

Réalité et pragmatisme :
R.I.C.A.P.E.C soutient les organisations qui ont démontré leur capacité à planifier et mettre en œuvre des projets réalistes et pragmatiques, susceptibles d’apporter aux populations une amélioration concrète, mesurable et durable, en tenant compte du respect de l’humanité, de l’environnement qui nous entoure, et  de la responsabilité sociétale pour les entreprises.

Implication des bénéficiaires :

les actions de R.I.C.A.P.E.C prennent en considération l’opinion et les droits des personnes qui bénéficient des projets.

 Celles-ci visent à répondre aux besoins spécifiques, réalistes et clairement identifiés.

Sur le terrain. R.I.C.A.P.E.C croit ,également,  que la participation et l’implication des bénéficiaires sont autant de facteurs qui favorisent le développement de compétences, l’autonomie et l’autosuffisance.

• Priorité aux projets qui ont une approche transversale de ses quatre domaines d’intervention :

R.I.C.A.P.E.C   s’efforce de donner la priorité aux projets qui couvrent plusieurs domaines d’intervention et s’attache à favoriser l’amélioration intégrée, harmonieuse et durable des conditions de vie des bénéficiaires.

Ces programmes tirent ainsi profit du potentiel de ces multiples opportunités, en termes de développement local.

Discours d’Amadou BA à la remise de prix « leaders du futur » – Crans Montana Forum

Chers Amis,

Le vendredi 12 juin 2015 fut une journée spéciale pour moi à  Bruxelles, j’ai été honoré de recevoir  le prestigieux Titre de « Nouveau Leader du Futur 2015« , pour un mandat de Trois Ans, des mains de Monsieur Didier Reynders, Vice-Premier Ministre du Royaume de Belgique, en charge des Affaires Étrangères et Européennes, et en présence de plusieurs Chefs d’Etat parmi lesquels Michel Kafando, Président de Transition du Burkina Faso, Marie Louise Coleiro Préco, Présidente de la République de Malte, Nikola Gruevski, Premier Ministre de Macédoine, Boris Tadic, Ancien Président de la République de Serbie, l’Ambassadeur Jean Paul Carteron fondateur du CRANS MONTANA FORUM.

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Cette communauté unique de jeunes décideurs réunit de nombreux talents venus d’Europe, d’Amérique du sud, du moyen orient , des Etats unis d’Amérique et de l’Afrique. 
Ce forum exceptionnel rassemble des personnalités de haut niveau et de grands décideurs issus de Gouvernements, organisations internationales  et Entreprises du Monde entier.

À ce titre de  » Nouveau Leader du Futur  2015 , j’ai eu à remercier d’abord tous les acteurs qui contribuent au succès de cet événement année après année. C’est une grande fierté pour moi de m’associer à un concours qui souligne l’excellence, la motivation, la créativité et l’engagement des jeunes leaders qui demain seront,la relève  pour une gouvernance équitable du Monde. Cette relève exceptionnelle prouve qu’en joignant les efforts et les actions de chacun, nous parvenons à faire progresser notre société en pensant aux générations à venir.En ma qualité de Président de RICAPEC, j’ai au à produire plusieurs rapports avec des orientations fermes sur la promotion de l’utilisation des énergies renouvelables en Afrique,comme le Solaire, les Éoliennes, le Gaz naturel, et la Biomasse. 

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Au cours de mon allocution, j’ai fais appel à plus d’investissement en Afrique dans la production d’énergie propre et d’ appeler les dirigeants africains a œuvrer d’avantage pour le développement des énergies renouvelables dans  leurs localités respectives. 

J’ai  salué la volonté ferme du G7 lors de sa dernière rencontre en Allemagne visant à « dé carboniser » l’économie mondiale au cours de ce siècle. L’engagement réitéré dans ce communiqué, sur l’élimination des subventions aux combustibles fossiles est encourageant et constitue une première étape essentielle pour garantir que l’accord sera honoré. Le G7 a également compris l’appel de l’Afrique et des Africains à développer massivement les investissements dans les énergies renouvelables à travers notre continent. L’engagement du G7 à mobiliser des ressources pour accélérer la création d’un système à faible intensité de carbone dans la région pourrait « changer la donne » et aider l’Afrique à se développer et à passer directement à un avenir durable, sobre en carbone. Ceci est bien pour l’Afrique et la lutte mondiale contre le changement climatique ».  

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Cette distinction m’a permis aussi de revenir sur mes derniers plaidoyers sur l’Énergie Propre  à la conférence des parties à Cancun , et Copenhague avec l’implication du secteur privé, des acteurs politiques et des organisations de la société civile dans la recherche de solution alternative aux Énergies fossiles. Ce qui constitue aujourd’hui le couronnement et la consécration de plusieurs travaux à travers nos réseaux de jeunes cadres .

Mon prochain rapport sera un plaidoyer,une contribution, visant à la préparation de la prochaine conférence des parties « PARIS CLIMAT 2015 » qui présentera des recommandations de bonnes pratiques  pour la réduction du réchauffement planétaire à un maximum de 2 °C au-dessus des niveaux préindustriels , afin de démontrer que l’Afrique est bien placée pour accroître la production énergétique nécessaire,et ainsi stimuler la croissance.Mais aussi et surtout,fournir de l’énergie à tous et jouer un rôle de leader dans les négociations cruciales  sur le  changement climatique. 

Bien évidemment , ce Rapport de RICAPEC sera d’abord soumis  à l’atelier de travail de ENERGIE CITY, qui sera débattu pour la première fois au Sommet mondial Climat & Territoires  les 1 et 2 juillet 2015 à LYON  avec  l’ensemble des acteurs non-étatiques avant la Conférence intergouvernementale Paris Climat 2015 (COP21).  Ce sommet est placé sous le Haut Patronage du Président de la République française. C’est un événement labellisé COP21, organisé en collaboration avec la Convention Cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC).

Cet Evénement sera pour notre Réseau l’occasion de présenter les résultats de nos travaux avec les experts de RICAPEC INTERNATIONAL.
 
L’heure est de faire face à nos responsabilités devant l’histoire et non de jouer les seconds rôles, comme disait Kofi Annan :« En refusant de prendre des risques et en attendant que d’autres fassent le premier pas, certains gouvernements jouent au poker avec la planète et la vie des générations futures. L’heure n’est pas aux faux-fuyants, aux intérêts personnels à court terme ni aux ambitions  réduites, mais plutôt à un leadership mondial audacieux et à  l’action décisive »
 
Enfin, je tiens également à remercier mes parents pour l’éducation qu’ils m’ont inculqué,mes amis , mes partenaires stratégiques de la France et du Belgique , sans oublier le peuple sénégalais ,le Groupe d’Amitié France Sénégal à l’assemblée Nationale pour leur soutien indéfectible, The French American Fondation , Friends of Europa ,  sur qui j’ai pu compter tout au long de mon parcours et sans qui la réalisation de ce concours ne serait possible.

Sur ces mots, je termine en saluant tous ces jeunes Leaders, hommes d’affaires, chefs d’entreprises et entrepreneurs qui se sentiront inspirés par l’accomplissement de ce  lauréat à mon égard. Je les  incite à croire en leur potentialité, à leur capacité d’imagination et d’innovation. Comme pour reprendre un proverbe africain : « Si tu veux aller vite , fais le seul, si tu veux aller loin , faisons le ensemble. »